La quête de Wynne - Aaron Gwyn




Roman déniché en Avignon l’année dernière, je me suis enfin décidé à le lire. Je renâclais un peu à le commencer en raison de la place centrale que tient l’équitation dans cet ouvrage. En effet, je ne suis pas un grand amateur de cette activité. Quelle erreur ce fut de ne pas lire ce roman plus tôt.


L’AUTEUR

Aaron Gwyn est un auteur américain originaire de l’Oklahoma. Il vit maintenant en Caroline du Nord, où il enseigne la littérature à l’université. La Quête de Wynne est son troisième roman, mais le seul édité en France.



LE LIVRE

Ranger sur le front irakien, Russel sauve un cheval pris sous le feu des combats. Ce sauvetage se retrouvant sur les réseaux sociaux, il est dépêché en Afghanistan pour une curieuse mission auprès du capitaine Wynne. Pour lui, il devra dresser une quinzaine de chevaux messages, pour une mission mystérieuse.


LA CHRONIQUE

La quête de Wynne est un roman qui vous fera aimer les chevaux et l’équitation. Ne connaissant rien, mais alors rien à ce domaine, je me suis retrouvé à me renseigner sur les différentes races de chevaux ainsi que les équipements inhérents à leur montée.

Un véritable amour de ces bêtes se dégage du personnage principal, et par la force de l’écriture de l’auteur ce sentiment naît aussi en nous.

On suit Russel, jeune ranger, qui après le sauvetage d’un cheval en Irak, se voit confier la mission d’élever des chevaux pour l’unité du capitaine Wynne, en Afghanistan.

Le personnage du capitaine est empreint de mystère et fascine aussi bien le héros que ce qu’il a pu me fasciner. Le fait d’être embarqué dans une mission dont on ne connaît les enjeux permet d’ajouter une tension et de se sentir « embarqué » dans celle-ci.

La Quête de Wynne est un roman d’aventure particulièrement prenant, porté par une écriture juste et concise qui ravira aussi bien les amateurs du genre que les autres. Je recommande donc fortement ce roman.


EXTRAIT

« Il disait « Hé, là » et « Tout doux »,et la pouliche baissa la tête, puis la releva, et il accrocha une extrémité de la longe à l’attache du licou , puis il passa la main le long de sa mâchoire, en remontant vers l’encolure »



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